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L'éducation aux médias à partir de mon cours de sciences sociales

Super


Exercice 1
- Patrick Regibeau, Esneux, 
- 33 ans d'enseignement 
- Compte enseigner encore 8 ans
- Il y a des jours où il a le blues... 
- Prof à l'institut notre dame de Mlmdy, prof de français sciences humaine en 3q, 4q 
- Ne tape pas ses cours à l'ordi lui-même. 
- besoin: ne pas taper à l'ordi 
- Il ne sait pas 
- Aucune formation ne lui a jamais apporté quoi que ce soit dans les cours 

Breve

Patrick, un éternel déçu des formations 


Patrick Regibeau, 54 ans et Esneutois est enseignant depuis 33 ans. 
Actuellement professeur de Français et de Sciences Humaines en 3 et 4ème de qualification à l'Institut Notre Dame de Malmedy, il compte encore enseigner 8 ans 
Parfois, Patrick a le blues... et encore aujourd'hui, lundi 18 mars 2013, face à son ordinateur, il ne rêve que d'une chose, ne pas devoir taper à l'ordinateur pour cette formation sur l'éducation aux médias! Mais c'est raté! 
Pour ses cours, c'est soit son fils, soit son épouse qui s'occupent de les dactylographier! 
Pour terminer, jamais aucune formation n'a jamais rien apporté à Patrick pour ses cours! Espérons que monsieur Berhin arrivera à lui apporter des outils nécessaires à ces cours et ainsi lui faire changer d'avis....  


Exercice 2


Social : "Ouvriers-employés: alignement impossible?"
 Article : La Libre Belgique +, lundi 11 mars 2013

EPM

- Pourquoi parle-t-on d'un éventuel alignement des statuts? Pour quelle catégorie de travailleur cela serait bénéfique?
- Sur quelle valeur se basent ceux qui sont pour cet alignement?
- Pourquoi est-il impossible d'aligner le statut des ouvriers à celui des employés?

EAM

- L'auteur de l'article est-il pour ou contre cet alignement? explique. (jms neutre)
- Qu'est ce que "Belga" ?
(Piste : interprêter la photo, changer la photo et en discuter, légendes, etc...)
(Piste: Interview de tel spécialiste, pourquoi cet angle d'attaque?)
(Piste: la chute de l'article, comparer 2 chutes de 2 articles)


Exercice 3


(infos) les titres et le chapeau devraient donner 70% des infos du texte
Le dernier paragraphe. est important, car c'est la chute! Mais les avants derniers paragraphe. sont susceptibles d'être supprimés.


Producteur : L'avenir du Luxembourg, journal réginal local. - 2 journalistes : P.C. et M.-C. B. - la ville d'Arlon et drive mut
Langage: écrit, article de presse écrite. Utilisation des " " pour tout ce qui est dit par une personne extérieure et cette personne est citée.
Technologie:Presse écrite avec une image
Représentation: L'article propose un stage pour maitriser sa mob et diminuer le nombre d'accidents de la route
Typologie:
 le titre est assez clair pour voir de quoi l'article parlera.
C'est un peu une publicité pour les organisateurs du stage, la conclusion de l'article donne les prix etc. Donc confirme bien la typologie de l'article
Public:
Comme c'est un article de presse écrite, il peut être consulté à n'importe quelle heure, le public dépendra si l'article est dans un journal papier ou sur internet. Le sujet vise, les jeunes, leurs parents et leurs grands parents.

PQ a-t-on publié cet article au détriment d'autres?
- Pour l'échevine,
- car c'est local
- ...

==> = un publireportage , ce n'est pas un espace acheté
petites annonces, nécrologie, publicitaire = espace acheté

C'est un article avisé service, de l'info de service


On est chacun un récepteur différent de son voisin en fonction de sa sensibilité etc.


Exercice 4

La momie



Exercice de titraille :
CONSIGNES : Composer
- le titre (complété éventuellement d'un sur ou sous-titre)
- le chapeau
- 3 intertitres (choisir l'emplacement de ceux-ci)
- 2 légendes pour les photos
- la chute
- l'exergue

Document :


« Je le disais encore à ma fille, la semaine dernière : ces gens-là étaient bizarres. Je les voyais serrés dans des vêtements noirs, la mine renfrognée. Maintenant, je comprends pourquoi. » Elle court, elle court, la rumeur… Ce matin, le village de Gesves, blotti dans la vallée du Samson, se réveille en plein cauchemar. De Faulx-les-tombes à Sorée et de Mozet à Haltinne, « l’affaire de la momie » est au centre de toutes les conversations.

 Histoire insolite, histoire à faire peur : les gens, dans les fermes aux toits d’ardoise, ne savent trop par quel bout prendre la chose. A travers des plaisanteries mal assurées, ils expriment l’effroi, l’intolérance, mais aussi une sorte de complicité mêlée de pitié, comme si la lutte avec la mort appelait d’abord, et avant tout, respect et solidarité.

 Au numéro 7 de la rue de Brionsart, la famille Vandenbroeck s’est enfermée derrière les rideaux de la grosse maison blanche. Hubert, agent en douanes retraité, s’y est installé voilà deux ans, avec quelques-uns de ses enfants. Au début de l’année 1988, sa fille Myriam, 32 ans, épouse de Michel Lauvers, un artiste peintre de Willebroeck, les a rejoints. Diabétique, elle vient chercher le repos à Gesves. Une mauvaise grippe, ajoutée à son état, l’a affaiblie…

 Son mari téléphone régulièrement pour prendre de ses nouvelles. En vain. Les parents de Myriam l’éconduisent gentiment : leur fille, malade, ne peut recevoir personne… Cet étrange jeu de cache-cache dure plusieurs mois. Soudain, tout bascule ? Le 10 mars, Eric Vandenbroeck – un des fils, propriétaire de la villa- demande à son beau-père de passer d’urgence à Gesves. A son arrivée, il lui annonce le décès de Myriam. Le choc. Les deux hommes montent à l’étage. Dans un état second, Lauwers découvre sa femme allongée sur un lit. Seule la tête, qui a pris une couleur brune et ses cheveux gris émergent du drap recouvrant le corps. Lauwers ne réagit pas. Eric lui propose de le ramener à Willebroeck et lui promet « de s’occuper de tout ».

 Les jours passent. Plusieurs fois, le mari de Myriam téléphone chez ses beaux-parents. Personne ne décroche. Lauwers en a assez. Il veut savoir. Le samedi 18 mars, il débarque à Gesves en compagnie de son père et d’un oncle ecclésiastique. Lorsqu’ils se présentent à la villa, ils remarquent la volvo blanche des Vandenbroeck, garée, comme d’habitude, dans le jardin.. Après leur coup de sonnette, ils voient les rideaux s’agiter. Cependant la porte reste close.

Légende :


 Cette fois, c’en est trop. Ils vont chercher la police. Maurice Scheir, garde-champêtre, les reçoit chez lui, dans la confortable demeure qu’il vient d’aménager à deux pas de la maison communale. Il s’informe : aucun décès n’a été signalé à Brionsart. Le parquet de Namur est prévenu. En début d’après-midi, juge d’instruction, substitut, officiers de la PJ et médecin légiste se retrouvent devant la villa. Les Vandenbroeck sont partis « faire des courses ». Un serrurier force la porte d’entrée. Très vite, l’odeur éveille un pressentiment chez les policiers. A l’étage, ils découvrent enfin le corps de Myriam, bruni, séché, sous un simple coure-lit. La mort remonte à … dix mois.

 

 « Morte, Myriam ? Mais non… Elle est vivante. Elle vous le prouvera ! » Les Vandenbroeck, rentrés chez eux, manifestent à peine leur étonnement. Avec un calme désarmant, Hubert raconte que Myriam avec cessé ses injections d’insuline et qu’en avril 1988, elle est entrée dans un coma dont elle n’est plus sortie. Devant les enquêteurs médusés, ils soulignent qu’elle continuait à communiquer avec la famille par ses odeurs et par ses pertes. Tous les deux jours, avec un de ses fils, il lavait le corps à l’eau boriquée, un désinfectant.

 Légende :

         Hubert est ses enfants ne seront, sans doute pas poursuivis. Tout au plus, risquent-ils une condamnation relativement minime pour la non-déclaration du décès et le non-respect du règlement communal prescrivant l’enterrement des défunts dans les trois jours. Eric a quitté Gesves. Ses parents lui-ont-ils pardonné d’avoir trahi leur secret ? Quant à la mère, elle serait aux Etat-Unis depuis six mois. Les autorités judiciaires semblent inquiètes à leur sujet.

 

 « Ils vivaient complètement repliés sur eux-mêmes » constate une habitante de Gesves. Quand les journalistes ont envahi le village, le « téléphone arabe » a parfaitement fonctionné. Des petits mots ont circulé : « Madame, regardez le journal parlé de RTL et de la RTBf, ce soir ». Le mot « secte » a été abusivement prononcé. Peu à peu, cependant, chacun a pris conscience de l’horreur de la situation et de la cruauté des ragots. Le malaise s’est installé. « Ils n’ont pas l’air fou », soulignent les gardes-champêtres. Ils n’étaient même pas croyants. Dans leur esprit, leur comportement était parfaitement naturel ».

 

 Pour les Gesvois, c’est çà, justement qui est insupportable : impossible de « coller une étiquette » sur les Vandenbroeck, de « décrypter » leur attitude à l’aide d’explications simples. Les « spécialistes » parleront à leur égard de « deuil pathologique », de déni total de la réalité. Ils évoqueront les troubles profonds des relations familiales et la relation symbiotique avec cette fille fétiche dont la communauté ne pouvait se séparer, ni dans la vie, ni dans la mort. Ils poseront, enfin, des questions : « la loi du silence n’a-t-elle pas été partagée par le village ? Comment le mari de Myriam, qui s’est montré totalement impuissant va-t-il vivre la culpabilité ? Comment les liens incroyables, le consensus tacite et les mille détails de la vie quotidienne qui ont permis à la famille «  de tenir » pendant ces dix mois, vont-ils évoluer ?

 

Chute :




Exercice 5

Métiers et genres



Dans une salle de rédaction

 Recomposez les paires

 Les rôles : 1. Journaliste – 2. Pigiste – 3. Reporter – 4. Secrétaire de rédaction – 5. Photographe - 6. Correcteur – 7. Documentaliste

 A.

Il prend en charge la mise au point et la validation des contenus, ainsi que leur cohérence éditoriale et scientifique avec les autres composants d’une publication ou d’un site.

B

Ce métier consiste à intervenir sur tout texte destiné à diffusion ou à publication (journaux, revues, brochures, livres, rapports...) afin que la pensée des auteurs soit exprimée le plus clairement possible avec toute la précision de fond souhaitable.

 C.

Son travail consiste principalement à recueillir des informations sur un événement de l'actualité ou sur un sujet particulier (en consultant les dépêches des agences de presse, en interrogeant des spécialistes ou des témoins, et en s'appuyant sur différentes sources),

 D.

La plupart exercent de manière indépendante. Selon les cas, ce professionnel qui accompagne souvent le journaliste réalise lui aussi des reportages qu’il vend ensuite à des journaux ou des agences, ou bien il travaille sur commande.

 E.

Journaliste rémunéré à la tâche (par exemple au nombre de caractères ou de pages pour un rédacteur, à la durée dans l'audiovisuel, au nombre d'images pour un photographe...). Il peut collaborer à un ou plusieurs médias.

 F.

Tiré d'un terme anglais signifiant « rapporteur d'information », il est un journaliste dont le métier consiste à collecter et rapporter des informations sur un événement ou un sujet d'une certaine actualité, en se déplaçant le plus souvent sur les lieux mêmes de ces faits

 G.

Professionnel de l'information-documentation.

  
A - 4
B - 6
C - 1
D - 5
E - 2
F - 3
G - 7

Les fonctions (genres) :
1. Reportage – 2 . Carte blanche –3. Courrier des lecteurs - 4. Editorial – 5. Papier d’ambiance -6. Interview – 7. Article de fond (compte-rendu) -8. Brève ou filet – 9. Chronique – 10. Billet d’humeur – 11. Publi-reportage – 12. Communiqué -

 

A.

Article qui reflète la position de l'éditeur ou de la rédaction sur un thème d'actualité. Il peut aussi servir à mettre en valeur un dossier publié dans le journal.

 B.

Article présentant un certain sujet en détail. Il s'agit souvent d'un dossier provenant de l'actualité.

 C.

Il permet d’informer de façon précise, simple et concise sur un fait nouveau. Il correspond à une nécessité de lecture rapide.

 D.

Article d'un journal qui est consacré aux actualités d'un domaine précis.

 E.

Jeu de questions/réponses à sens unique entre deux (voire plusieurs) personnes, parfois selon le mode QQOQCCP.

 F.

Article d'opinion, souvent court et, qui présente de façon sarcastique ou humoristique un événement ou un sujet d'intérêt général susceptible d'attirer l'attention du lecteur, d'apporter un sujet de réflexion. L'auteur du billet prend parti. Habituellement, la chute de l'article est particulièrement soignée, constituant en quelque sorte la morale de l'histoire.

  

 G.

Le journaliste y utilise un vocabulaire imagé qui traduit ce qu'il a "vécu" (vu, entendu, senti) sur place. Et fréquemment, il cite l'une ou autre phrase prononcée par l'un des acteurs ou des témoins, des phrases qu'on lui a parfois confiées en exclusivité ou qu'il a saisies au vol.

 H.

Méthode de vente qui vise la publication, dans les médias d'une information, prônant l'usage d'une marque ou d'un produit vendu par la personne ou l'organisme qui finance cette information.

 I.

Prise de position éditoriale qui est cédée à une plume extérieure, à laquelle on reconnaît une expertise ou une manière originale de saisir l’actualité.

 J.

Il est constitué de diverses réactions adressées à la rédaction, suite à la publication d’articles antérieurs

 K.

Document court, envoyé aux journalistes dans le but de les informer d'un événement comme la création d'une société ou le lancement d'un nouveau produit.

 L.

Texte dans lequel le journaliste rapporte les événements en allant sur le terrain, en se rendant sur les lieux de l'action. Il raconte alors ce qu'il a vu et ce qu'il a entendu sur place. Il devient en quelque sorte un témoin "subjectif" qui observe les faits avec sa propre sensibilité.

 

A - 4
B - 7
C - 8
D - 9
E - 6
F - 10
G - 5
H - 11
I - 2
J - 3
K - 12
L - 1


Définition du fait divers :

  1. (Journalisme) Évènement du jour, relaté dans les journaux, sans lien avec le reste de l’actualité.
    • Crime à la Une ! Les Mystères de Paris ont enfin une suite. Serge Garde est persuadé que les faits divers ne s’adressent pas qu’aux tripes. C’est pourquoi, un siècle et demi après Eugène Sue, il tente de réhabiliter une rubrique qui a cessé d’être celle des chiens écrasés […] (Claire Lefebvre, « Le Paris des faits divers « Le miroir de la société » » [archive], L’Express, 30/08/2004)
    • À quoi servent les faits divers ? […]. En règle générale, à faire du très mauvais journalisme, caressant le lecteur dans ses pulsions malsaines quitte à pulvériser les lignes jaunes du métier : des « fait-diversiers » à l’ancienne aux voyous de l’empire Murdoch, les mœurs n’ont pas changé, seules les technologies évoluent. (Nicolas Demorand, « Trouble », dans Libération, nº 9535, 7 & 8 janvier 2012, p. 3)

 


Médias égaux face à l'info ?



 

Les médias ne sont pas égaux devant l’info :  le temps et les langages de l’info

 

Ex : Accident de la route 

1. Un événement survient. Il est 8h20 du matin. Ex : accident de la route avec blessés et embouteillage

 

15. L’accidenté décède

16. Heure de bouclage

 

18. Achat du journal (J+1)

 

 

 

a) Le sujet peut être retravaillé et monté plus à l’aise pour le JT du soir 13

b) De retour en salle de montage, le journaliste réalise sa séquence 9

c) Le photographe envoie ses clichés par GSM + Un archiviste cherche des statistiques sur le nombre d’accidents déjà survenus à cet endroit 7

d) Une première évocation de l’accident trouve place au JP de milieu de matinée 8

e) Un flash radio annonce l’accident + L’info est mise sur le net 5

f) Un journaliste est dépêché sur place avec un photographe. Ils réalisent des interviews et prennent des clichés + Une équipe de télé arrive sur les lieux : caméra, prise de son et journaliste. Les interviews commencent 6

g) Le journaliste écrit un papier pour la presse écrite : recherche d’infos complémentaires, rédaction, mise en forme, illu et légende. (2000 signes) 11

h) Le journaliste télé écrit puis post-produit son commentaire 10

i) Impression & distribution par les MP 17

j) Le sujet paraît au JT de la mi-journée 12

k) Un témoin prend des photos avec son GSM et les diffuse sur Twitter 4

l) Second JT, seconde évocation avec des explications (1min 30)14

m) Les secours se mettent en route. Sur place, ils identifient rapidement la victime et la gravité de la situation 3

n) Le journaliste complète son info : Pourquoi tant d’accidents à cet endroit ? (30 sec) 10

o) Un témoin alerte les secours et informe le centre de guidage (Perex) 2

 

 




Exercice


Manhattan/kaboul



Chanson interprétée par Renaud sur l'album : Boucan d'enfer - 2002.

Petit Portoricain, bien intégré quasiment New-yorkais
Dans mon building tout de verre et d'acier,
Je prends mon job, un rail de coke, un café,

Petite fille Afghane, de l'autre côté de la terre,
Jamais entendu parler de Manhattan,
Mon quotidien c'est la misère et la guerre

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

Un 747, s'est explosé dans mes fenêtres,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les bombes ont rasé mon village

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

So long, adieu mon rêve américain,
Moi, plus jamais esclave des chiens
Ils t'imposait l'islam des tyrans
Ceux là ont-ils jamais lu le coran ?

Suis redev'nu poussière,
Je s'rai pas maître de l'univers,
Ce pays que j'aimais tell'ment serait-il
Finalement colosse aux pieds d'argile ?

Les dieux, les religions,
Les guerres de civilisation,
Les armes, les drapeaux, les patries, les nations,
Font toujours de nous de la chair à canon

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

[ Ces sont Manhattan - Kaboul Paroles sur http://www.parolesmania.com/ ]


Consigne

- ecrire un txt
- échanger avec mon voisin et celui-ci souligne qques mots chargés de sens.
- Ensuite, faire une brève comme le lait de femme en utilisant ces qques mots qu'il a choisit chez son voisin



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    Author: Guest   Version: 1.0   Last Edited By: Guest   Modified: 11 Jan 2025