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christianed


EXERCICE 1

Formation IFC à Malmedy 18/03/2013

Lucie Scrire vient de L'Institut Saint-Joseph de Visé afin de suivre une formation sur les médias dans notre belle cité du cwarmé!
Chimiste à l'origine, et habitant à Housse, elle s'est tournée vers l'enseignement et donne des cours de scienses humaines et de sciences technologiques dans le degré supérieur technique et professionnel! Cette formation lui sera, on l'espère très utile pour utiser les médias dans ces cours.



EXERCICE 2

Une innovation belge au top mondial
L'avenir du 13/03/2013


Q1 Expliquer la fonction principale du Compagnon Digital
.
Q2 Quel est aussi son rôle au niveau social?
Q3 Que recherche le concepteur de ce produit?

Utilisation de cet article en EVS (Enquêtes, visites et séminaires) dans le cadre du chapître sur le 3e et 4e âge.

L'auteur de cet article s'est informé sur le sujet auprès de l'Unesco et sur le site du producteur www.caresquare.com
Q1 Qu'est-ce que l'Unesco? les informations sont-elles fiables?
Q2 Allez visiter le site de la firme! les informations  de l'article correspondent-elles à celles du site proposé?
Q3 Trouvez-vous des informations supplémentaires sur ce site concernant l'utilisation de l'appareil???


mardi 19/03/2013
analyse article : Maîtriser ta mob

Langage:
courant
Producteur: L'avenir du luxembourg 03/03/03 journal local / régional (2 signatures? qui a fait quoi? 1 recherche les infos (statistiques..) et 1 sur le terrain/photographe!)
Public: les jeunes et leurs parents
Représentation: photo d'un jeune avec sa mob
Typologie: Brigitte Debry, échevine de l'action sociale fait passer un message! pub? de la part de la commune ou de l'asbl ?
Technologie:  presse écrite, publireportage? 


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/6a/6thematiques.jpg


La momie



Exercice de titraille :
CONSIGNES : Composer
- le titre (complété éventuellement d'un sur ou sous-titre)
- le chapeau
- 3 intertitres (choisir l'emplacement de ceux-ci)
- 2 légendes pour les photos
- la chute
- l'exergue

TITRE: LA MOMIE

UNE FAMILLE CACHAIT LE CORPS DE LEUR FILLE DECEDEE DEPUIS DES MOIS!



« Je le disais encore à ma fille, la semaine dernière : ces gens-là étaient bizarres. Je les voyais serrés dans des vêtements noirs, la mine renfrognée. Maintenant, je comprends pourquoi. » Elle court, elle court, la rumeur… Ce matin, le village de Gesves, blotti dans la vallée du Samson, se réveille en plein cauchemar. De Faulx-les-tombes à Sorée et de Mozet à Haltinne, « l’affaire de la momie » est au centre de toutes les conversations.

 Histoire insolite, histoire à faire peur : les gens, dans les fermes aux toits d’ardoise, ne savent trop par quel bout prendre la chose. A travers des plaisanteries mal assurées, ils expriment l’effroi, l’intolérance, mais aussi une sorte de complicité mêlée de pitié, comme si la lutte avec la mort appelait d’abord, et avant tout, respect et solidarité.

 Au numéro 7 de la rue de Brionsart, la famille Vandenbroeck s’est enfermée derrière les rideaux de la grosse maison blanche. Hubert, agent en douanes retraité, s’y est installé voilà deux ans, avec quelques-uns de ses enfants. Au début de l’année 1988, sa fille Myriam, 32 ans, épouse de Michel Lauvers, un artiste peintre de Willebroeck, les a rejoints. Diabétique, elle vient chercher le repos à Gesves. Une mauvaise grippe, ajoutée à son état, l’a affaiblie…

 Son mari téléphone régulièrement pour prendre de ses nouvelles. En vain. Les parents de Myriam l’éconduisent gentiment : leur fille, malade, ne peut recevoir personne… Cet étrange jeu de cache-cache dure plusieurs mois. Soudain, tout bascule ? Le 10 mars, Eric Vandenbroeck – un des fils, propriétaire de la villa- demande à son beau-père de passer d’urgence à Gesves. A son arrivée, il lui annonce le décès de Myriam. Le choc. Les deux hommes montent à l’étage. Dans un état second, Lauwers découvre sa femme allongée sur un lit. Seule la tête, qui a pris une couleur brune et ses cheveux gris émergent du drap recouvrant le corps. Lauwers ne réagit pas. Eric lui propose de le ramener à Willebroeck et lui promet « de s’occuper de tout ».

 Les jours passent. Plusieurs fois, le mari de Myriam téléphone chez ses beaux-parents. Personne ne décroche. Lauwers en a assez. Il veut savoir. Le samedi 18 mars, il débarque à Gesves en compagnie de son père et d’un oncle ecclésiastique. Lorsqu’ils se présentent à la villa, ils remarquent la volvo blanche des Vandenbroeck, garée, comme d’habitude, dans le jardin.. Après leur coup de sonnette, ils voient les rideaux s’agiter. Cependant la porte reste close.

Légende : la maison de la famille Vandenbroek


UNE BIZARE ODEUR

 Cette fois, c’en est trop. Ils vont chercher la police. Maurice Scheir, garde-champêtre, les reçoit chez lui, dans la confortable demeure qu’il vient d’aménager à deux pas de la maison communale. Il s’informe : aucun décès n’a été signalé à Brionsart. Le parquet de Namur est prévenu. En début d’après-midi, juge d’instruction, substitut, officiers de la PJ et médecin légiste se retrouvent devant la villa. Les Vandenbroeck sont partis « faire des courses ». Un serrurier force la porte d’entrée. Très vite, l’odeur éveille un pressentiment chez les policiers. A l’étage, ils découvrent enfin le corps de Myriam, bruni, séché, sous un simple coure-lit. La mort remonte à … dix mois.

 

 « Morte, Myriam ? Mais non… Elle est vivante. Elle vous le prouvera ! » Les Vandenbroeck, rentrés chez eux, manifestent à peine leur étonnement. Avec un calme désarmant, Hubert raconte que Myriam avec cessé ses injections d’insuline et qu’en avril 1988, elle est entrée dans un coma dont elle n’est plus sortie. Devant les enquêteurs médusés, ils soulignent qu’elle continuait à communiquer avec la famille par ses odeurs et par ses pertes. Tous les deux jours, avec un de ses fils, il lavait le corps à l’eau boriquée, un désinfectant.

 Légende : le petit village paisible de GESVES

         Hubert est ses enfants ne seront, sans doute pas poursuivis. Tout au plus, risquent-ils une condamnation relativement minime pour la non-déclaration du décès et le non-respect du règlement communal prescrivant l’enterrement des défunts dans les trois jours. Eric a quitté Gesves. Ses parents lui-ont-ils pardonné d’avoir trahi leur secret ? Quant à la mère, elle serait aux Etat-Unis depuis six mois. Les autorités judiciaires semblent inquiètes à leur sujet.

 

 « Ils vivaient complètement repliés sur eux-mêmes » constate une habitante de Gesves. Quand les journalistes ont envahi le village, le « téléphone arabe » a parfaitement fonctionné. Des petits mots ont circulé : « Madame, regardez le journal parlé de RTL et de la RTBf, ce soir ». Le mot « secte » a été abusivement prononcé. Peu à peu, cependant, chacun a pris conscience de l’horreur de la situation et de la cruauté des ragots. Le malaise s’est installé. « Ils n’ont pas l’air fou », soulignent les gardes-champêtres. Ils n’étaient même pas croyants. Dans leur esprit, leur comportement était parfaitement naturel ».

 

 Pour les Gesvois, c’est çà, justement qui est insupportable : impossible de « coller une étiquette » sur les Vandenbroeck, de « décrypter » leur attitude à l’aide d’explications simples. Les « spécialistes » parleront à leur égard de « deuil pathologique », de déni total de la réalité. Ils évoqueront les troubles profonds des relations familiales et la relation symbiotique avec cette fille fétiche dont la communauté ne pouvait se séparer, ni dans la vie, ni dans la mort. Ils poseront, enfin, des questions : « la loi du silence n’a-t-elle pas été partagée par le village ? Comment le mari de Myriam, qui s’est montré totalement impuissant va-t-il vivre la culpabilité ? Comment les liens incroyables, le consensus tacite et les mille détails de la vie quotidienne qui ont permis à la famille «  de tenir » pendant ces dix mois, vont-ils évoluer ?

 

Chute :








Médias égaux face à l'info ?



 

Les médias ne sont pas égaux devant l’info :  le temps et les langages de l’info

 

Ex : Accident de la route 

1. Un événement survient. Il est 8h20 du matin. Ex : accident de la route avec blessés et embouteillage

 

15. L’accidenté décède

16. Heure de bouclage

 

18. Achat du journal (J+1)

 

a) Le sujet peut être retravaillé et monté plus à l’aise pour le JT du soir

b) De retour en salle de montage, le journaliste réalise sa séquence

c) Le photographe envoie ses clichés par GSM + Un archiviste cherche des statistiques sur le nombre d’accidents déjà survenus à cet endroit

d) Une première évocation de l’accident trouve place au JP de milieu de matinée

e) Un flash radio annonce l’accident + L’info est mise sur le net

f) Un journaliste est dépêché sur place avec un photographe. Ils réalisent des interviews et prennent des clichés + Une équipe de télé arrive sur les lieux : caméra, prise de son et journaliste. Les interviews commencent

g) Le journaliste écrit un papier pour la presse écrite : recherche d’infos complémentaires, rédaction, mise en forme, illu et légende. (2000 signes)

h) Le journaliste télé écrit puis post-produit son commentaire

i) Impression & distribution par les MP

j) Le sujet paraît au JT de la mi-journée

k) Un témoin prend des photos avec son GSM et les diffuse sur Twitter

l) Second JT, seconde évocation avec des explications (1min 30)

m) Les secours se mettent en route. Sur place, ils identifient rapidement la victime et la gravité de la situation

n) Le journaliste complète son info : Pourquoi tant d’accidents à cet endroit ? (30 sec)


Réponses:


2 o

3 m

4 k

5  e

6t f

7 c

8 d

9 b

10 h et n

11 g

12 j

13 a

14 L

15 décès

16 bouclage

17 i

18 achat journal

 

 

Manhattan/kaboul



Chanson interprétée par Renaud sur l'album : Boucan d'enfer - 2002.

Petit Portoricain, bien intégré quasiment New-yorkais
Dans mon building tout de verre et d'acier,
Je prends mon job, un rail de coke, un café,

Petite fille Afghane, de l'autre côté de la terre,
Jamais entendu parler de Manhattan,
Mon quotidien c'est la misère et la guerre

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

Un 747, s'est explosé dans mes fenêtres,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les bombes ont rasé mon village

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

So long, adieu mon rêve américain,
Moi, plus jamais esclave des chiens
Ils t'imposait l'islam des tyrans
Ceux là ont-ils jamais lu le coran ?

Suis redev'nu poussière,
Je s'rai pas maître de l'univers,
Ce pays que j'aimais tell'ment serait-il
Finalement colosse aux pieds d'argile ?

Les dieux, les religions,
Les guerres de civilisation,
Les armes, les drapeaux, les patries, les nations,
Font toujours de nous de la chair à canon

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l'autel, de la violence éternelle




Des plats au lait de femme servis au restaurant

PEKIN (AFP) - Cherchant à se distinguer, un restaurant de la ville chinoise de Changsha (sud) offre des plats préparés avec du lait de femme.

Un plat d'ormeau et un autre de perche au lait de femme ont été servis pour la première fois samedi, selon le Shenghuo Shibao, qui fait état d'un projet de menu pour un banquet comportant 108 plats préparés au lait de femme.

La nouvelle spécialité culinaire devrait également bientôt figurer au menu d'un autre restaurant de la ville Shenzhen, à la frontière de Hong Kong, pour un banquet qui coûtera la bagatelle de 280.000 yuans (33.000 dollars), selon le journal.

Le propriétaire du restaurant de Changsha a assuré que le lait servi dans son restaurant était hygiénique. "Notre opinion est qu'il faut respecter ce qui est naturel. Nous respectons l'amour maternel", a-t-il déclaré au journal.

"Lorsque les clients font un banquet au lait humain ils peuvent en même temps faire l'expérience de l'amour maternel", selon ce restaurateur qui a voulu garder l'anonymat.

Le Jinghua Shibao a de son côté rapporté que le lait maternel servi à Changsha provenait de six paysannes, mais n'a pas précisé combien elles étaient rémunérées.

 










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    Author: Guest   Version: 1.0   Last Edited By: Guest   Modified: 13 Oct 2024