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Notre-Dame à Notre Dame
Trois collègues de l'école Notre-Dame d'Heusy se retrouvent ces lundi 18 et mardi 19 mars à l'école Notre-Dame de Malmedy au sein d'un groupe d'une vingtaine d'enseignants en formation continuée. Elveda Ermis, Pauline Dumoulin et Marie-Hélène Limbioul y suivront une formation centrée sur l'éducation aux médias. Chacune utilise déjà Internet ou l'outil infomatique dans son cours de Sciences Sociales afin d'illustrer une thématique, rechercher de l'information pour apprendre à l'analyser et la critiquer ou consulter, avec les élèves, des sites de référence. Plus à l'aise avec la presse écrite qu'elles utilisent régulièrement, ces trois collègues attendent une meilleure connaissance de l'outil informatique pour utiliser les réseaux sociaux, des petits trucs et astuces pour un meilleur maniement des outils informatiques liés à la presse ainsi que, plus globalement, une éducation aux médias au-delà d'une éducation par les médias.
CONTENU (EPM) Etude sur le chômage bruxellois => FS: le surplus de chômage à Bruxelles par rapport à d'autres villes => Concepts: notions de chômage, de taux de chômage (taux donnés dans le document :20% des actifs bruxellois, 10% de la population des 19 communes bruxelloises), taux d'emploi, marché du travail, offre et demande d'emplois => Institutions: Région de Bruxelles-Capitale, Ministre de l'Emploi, Actiris, ULB => Analyse de facteurs explicatifs du chômage à Bruxelles le niveau de formation le manque d'offre d'emplois l'origine étrangère du diplôme la méconnaissance du néerlandais => composante socio-économique => lien avec la théorie de P.Bourdieu sur les capitaux (notion de capital social et culturel)
ARTICLE (EAM) 1er article d'un dossier de 3 sur le chômage à Bruxelles 2/3 de page titre: 2 fois plus de chances d'être chômeur (=> utilisation des mots chances et chômeur dans le même titre: représentations?) page 4, rubrique Belgique, Emploi LLB signature : M.Colleyn Introduction du sujet par le rappel de l'arrivée d'une nouvelle ministre bruxelloise de l'Emploi et du taux de chômage de 20% à Bruxelles. Résumé d'une recherche sur les déterminants du chômage urbain en Région de Bruxelles-Capitale, menée par une chercheuse en économie de l'ULB. Citation de Marion Englert, auteur du rapport présenté. Références complètes du rapport présenté => s'interroger sur fiabilité de la source Photographie d'une salle d'attente chez Actiris. => s'interroger sur les représentations possibles à partir de la photo
- Le langage est une structuration spécifique de la
communication, quand elle se fait médiatique. La presse écrite, la
radio, la télévision, internet ne "parlent" pas de la même façon et
n'usent pas des mêmes termes langagiers. Voilà qui peut s'observer
méthodiquement.
langage simple et abordable, volonté de "vendre" le stage, titre accrocheur, titre presque comme une publicité, manière d'écrire pour sensibiliser les parents photo(un peu passe-partout, sécurisante : stage, jeune, scooter
- La technologie est un paramètre qui influence fortement la
communication s'établissant entre les intervenants. Deux illustrations
empiriques : le poids des mots n'est pas le choc des photos. La couleur
l'emporte de loin, en termes de modernité, sur le noir et blanc...
faisant croire systématiquement à certains à sa supériorité sémantique.
Une approche systématique de ces aspects aide à se faire une idée plus
juste de la chose.
Journal papier, presse écrite, texte (danger, sauver ta vie) plus interpellant que la photo (jeune devant sa moto)
- Les représentations sont le cœur du message véhiculé, le
fond se détachant de la forme qui, pourtant, le structure et le porte.
Rappelant l'expression de Mac Luhan, l'éducation aux médias pose la
question de cette simultanéïté confondue entre le média et le message.
Le spécialiste attirait en effet l'attention sur le fait que, très
souvent, le média est le message. Alors qu'une dissociation réfléchie
pourrait mettre en lumière l'un et l'autre dans leur assemblage. Mais
cela demande du temps, et chez l'accompagnateur-enseignant une
formation qu'il n'a pas toujours acquise dans sa formation initiale.
- Le stage de conduite et l'importance d'être attentif à la prévention en matière de sécurité routière au vu des risques liés aux chiffres des accidents pub pour l'échevine - dimension locale, dimension service (vacances de Pâques) du journal, occupation de jeuens pendant les vacances - mise en situation familiale - chiffres légitimant une démarche d'éducation - renseignements pratiques du stage - faits divers récents liés à des accidents de la route?
- Le public est le destinataire de la communication. Quand
celle-ci se fait médiatique, elle se choisit particulièrement finement
la technologie pour faire mouche et les formes de langage que cette
dernière permet pour créer les affects. Lire un document de façon
critique, c'est aussi se demander "pour qui" il a été écrit. C'est un
questionnement de niveau deux qui n'est pas inné, mais qui s'apprend.
- public local de la ville d'Arlon et plus partciulièrement2 publics: les parents (chapeau et contenu) et leurs enfants (titre orienté jeunes: ta mob) en âge de conduire un cyclomoteur
- Le producteur est l'émetteur du message. Sans lui, pas de
communication. Mais l'identification de celui qui s'exprime requiert
aussi parfois de se demander qui le fait parler, qui le met en projet,
qui le paie -parfois même- pour s'exécuter. La question "À qui profite
le crime ? connaît ici sa déclinaison propre :"À qui le message émis
apporte-t-il son bénéfice ?". En d'autres mots :"Pour qui parle le
locuteur, quand il s'adresse à son public-cible ?" Et il n'y a pas que
la publicité qui offre cette occasion d'analyse, même si elle est un
genre particulièrement prisé pour ce faire.
- Journaliste rapporte une formule de stage de conduite organisée par la Ville d'Arlon, l'ASBL Drive Mut et la Police, visant la prévention en matière de sécurité routière. Il utilise aussi des chiffres de l'IBSR pour montrer la réalité des accidents de la route. - L'Avenir du Luxembourg, journal régional, 2 journalistes signent l'article (recherche sur le terrain, recherche d'infos statistiques), photographe (est aussi le journaliste?)
- La typologie. Parmi toutes les expressions médiatiques, la
situation analysée est un cas de figure. Elle a été choisie par
quelqu'un qui avait un message à faire entendre... Il aurait pu le
décliner par d'autres voies. Il aurait pu utiliser des variantes dans
le genre médiatique pour lequel il a opté. Ainsi, comment décrire le
choix qui a été fait de s'exprimer, par exemple dans la presse écrite
plutôt que sur Internet, en radio ou en télé. Comment apprécier qu'en
presse écrite, le choix se soit porté sur de la presse féminine, par
exemple, plutôt que de la presse gratuite, toute-boîte, grand public...
ce qui est un genre différent. Voilà bien une question qui montre
qu'une pluralité de communication était possible et que celle qui a été
retenue (à tort ou à raison) a SON explication, SA motivation... à
d'autres possibles.
Journal régional, page Province du Luxembourg et spécificité sur la ville d'Arlon, proximité du lecteur sorte de publicité pour un stage de conduite info venant de la commune que le journal doit relayer info venant de l'asbl que le journal relaye => publireportage??? => article à visée service
LA MOMIE
Document :
« Je le
disais encore à ma fille, la semaine dernière : ces gens-là étaient
bizarres. Je les voyais serrés dans des vêtements noirs, la mine renfrognée.
Maintenant, je comprends pourquoi. » Elle court, elle court, la rumeur… Ce
matin, le village de Gesves, blotti dans la vallée du Samson, se réveille en
plein cauchemar. De Faulx-les-tombes à Sorée et de Mozet à Haltinne,
« l’affaire de la momie » est au centre de toutes les conversations.
Histoire
insolite, histoire à faire peur : les gens, dans les fermes aux toits
d’ardoise, ne savent trop par quel bout prendre la chose. A travers des
plaisanteries mal assurées, ils expriment l’effroi, l’intolérance, mais aussi
une sorte de complicité mêlée de pitié, comme si la lutte avec la mort appelait
d’abord, et avant tout, respect et solidarité.
Au
numéro 7 de la rue de Brionsart, la famille Vandenbroeck s’est enfermée
derrière les rideaux de la grosse maison blanche. Hubert, agent en douanes
retraité, s’y est installé voilà deux ans, avec quelques-uns de ses enfants. Au
début de l’année 1988, sa fille Myriam, 32 ans, épouse de Michel Lauvers, un
artiste peintre de Willebroeck, les a rejoints. Diabétique, elle vient chercher
le repos à Gesves. Une mauvaise grippe, ajoutée à son état, l’a affaiblie…
Son
mari téléphone régulièrement pour prendre de ses nouvelles. En vain. Les
parents de Myriam l’éconduisent gentiment : leur fille, malade, ne peut
recevoir personne… Cet étrange jeu de cache-cache dure plusieurs mois. Soudain,
tout bascule ? Le 10 mars, Eric Vandenbroeck – un des fils, propriétaire
de la villa- demande à son beau-père de passer d’urgence à Gesves. A son
arrivée, il lui annonce le décès de Myriam. Le choc. Les deux hommes montent à
l’étage. Dans un état second, Lauwers découvre sa femme allongée sur un lit.
Seule la tête, qui a pris une couleur brune et ses cheveux gris émergent du
drap recouvrant le corps. Lauwers ne réagit pas. Eric lui propose de le ramener
à Willebroeck et lui promet « de s’occuper de tout ».
Les
jours passent. Plusieurs fois, le mari de Myriam téléphone chez ses
beaux-parents. Personne ne décroche. Lauwers en a assez. Il veut savoir. Le
samedi 18 mars, il débarque à Gesves en compagnie de son père et d’un oncle
ecclésiastique. Lorsqu’ils se présentent à la villa, ils remarquent la volvo
blanche des Vandenbroeck, garée, comme d’habitude, dans le jardin.. Après leur
coup de sonnette, ils voient les rideaux s’agiter. Cependant la porte reste
close. 
Légende :
Cette
fois, c’en est trop. Ils vont chercher la police. Maurice Scheir,
garde-champêtre, les reçoit chez lui, dans la confortable demeure qu’il vient
d’aménager à deux pas de la maison communale. Il s’informe : aucun décès
n’a été signalé à Brionsart. Le parquet de Namur est prévenu. En début
d’après-midi, juge d’instruction, substitut, officiers de la PJ et médecin
légiste se retrouvent devant la villa. Les Vandenbroeck sont partis
« faire des courses ». Un serrurier force la porte d’entrée. Très
vite, l’odeur éveille un pressentiment chez les policiers. A l’étage, ils
découvrent enfin le corps de Myriam, bruni, séché, sous un simple coure-lit. La
mort remonte à … dix mois.
« Morte,
Myriam ? Mais non… Elle est vivante. Elle vous le prouvera ! »
Les Vandenbroeck, rentrés chez eux, manifestent à peine leur étonnement. Avec
un calme désarmant, Hubert raconte que Myriam avec cessé ses injections
d’insuline et qu’en avril 1988, elle est entrée dans un coma dont elle n’est
plus sortie. Devant les enquêteurs médusés, ils soulignent qu’elle continuait à
communiquer avec la famille par ses odeurs et par ses pertes. Tous les deux
jours, avec un de ses fils, il lavait le corps à l’eau boriquée, un
désinfectant.

Légende :
Hubert est ses enfants ne seront,
sans doute pas poursuivis. Tout au plus, risquent-ils une condamnation
relativement minime pour la non-déclaration du décès et le non-respect du
règlement communal prescrivant l’enterrement des défunts dans les trois jours.
Eric a quitté Gesves. Ses parents lui-ont-ils pardonné d’avoir trahi leur
secret ? Quant à la mère, elle serait aux Etat-Unis depuis six mois. Les
autorités judiciaires semblent inquiètes à leur sujet.
« Ils
vivaient complètement repliés sur eux-mêmes » constate une habitante de
Gesves. Quand les journalistes ont envahi le village, le « téléphone
arabe » a parfaitement fonctionné. Des petits mots ont circulé :
« Madame, regardez le journal parlé de RTL et de la RTBf, ce soir ».
Le mot « secte » a été abusivement prononcé. Peu à peu, cependant,
chacun a pris conscience de l’horreur de la situation et de la cruauté des
ragots. Le malaise s’est installé. « Ils n’ont pas l’air fou »,
soulignent les gardes-champêtres. Ils n’étaient même pas croyants. Dans leur
esprit, leur comportement était parfaitement naturel ».
Pour
les Gesvois, c’est çà, justement qui est insupportable : impossible de
« coller une étiquette » sur les Vandenbroeck, de
« décrypter » leur attitude à l’aide d’explications simples. Les
« spécialistes » parleront à leur égard de « deuil
pathologique », de déni total de la réalité. Ils évoqueront les troubles
profonds des relations familiales et la relation symbiotique avec cette fille
fétiche dont la communauté ne pouvait se séparer, ni dans la vie, ni dans la
mort. Ils poseront, enfin, des questions : « la loi du silence
n’a-t-elle pas été partagée par le village ? Comment le mari de Myriam,
qui s’est montré totalement impuissant va-t-il vivre la culpabilité ?
Comment les liens incroyables, le consensus tacite et les mille détails de la
vie quotidienne qui ont permis à la famille « de tenir » pendant ces
dix mois, vont-ils évoluer ?
Chute :
Dans une salle de rédaction Recomposez les paires Les rôles : 1. Journaliste – 2. Pigiste – 3. Reporter – 4. Secrétaire de rédaction – 5. Photographe - 6. Correcteur – 7. Documentaliste A. | Il
prend en charge la mise au point et la validation des contenus, ainsi
que leur cohérence éditoriale et scientifique avec les autres
composants d’une publication ou d’un site. 4
| B
| Ce
métier consiste à intervenir sur tout texte destiné à diffusion ou à
publication (journaux, revues, brochures, livres, rapports...) afin que
la pensée des auteurs soit exprimée le plus clairement possible avec
toute la précision de fond souhaitable.6 | C. | Son
travail consiste principalement à recueillir des informations sur un
événement de l'actualité ou sur un sujet particulier (en consultant les
dépêches des agences de presse, en interrogeant des spécialistes ou des
témoins, et en s'appuyant sur différentes sources), 1
| D. | La
plupart exercent de manière indépendante. Selon les cas, ce
professionnel qui accompagne souvent le journaliste réalise lui aussi
des reportages qu’il vend ensuite à des journaux ou des agences, ou
bien il travaille sur commande. 5
| E. | Journaliste
rémunéré à la tâche (par exemple au nombre de caractères ou de pages
pour un rédacteur, à la durée dans l'audiovisuel, au nombre d'images
pour un photographe...). Un pigiste peut collaborer à un ou plusieurs
médias. 2
| F. | Tiré
d'un terme anglais signifiant « rapporteur d'information », il est un
journaliste dont le métier consiste à collecter et rapporter des
informations sur un événement ou un sujet d'une certaine actualité, en
se déplaçant le plus souvent sur les lieux mêmes de ces faits. 3
| G. | Professionnel de l'information-documentation. 7
| Les fonctions (genres) : 1. Reportage – 2 . Carte blanche –3. Courrier des lecteurs - 4. Editorial – 5. Papier d’ambiance -6. Interview – 7. Article de fond (compte-rendu) -8. Brève ou filet – 9. Chronique – 10. Billet d’humeur – 11. Publi-reportage – 12. Communiqué - A.
| Article
qui reflète la position de l'éditeur ou de la rédaction sur un thème
d'actualité. Il peut aussi servir à mettre en valeur un dossier publié
dans le journal. 4
| B. | Article présentant un certain sujet en détail. Il s'agit souvent d'un dossier provenant de l'actualité. 7
| C. | Il permet d’informer de façon précise, simple et concise sur un fait nouveau. Il correspond à une nécessité de lecture rapide. 8
| D. | Article d'un journal qui est consacré aux actualités d'un domaine précis.9 | E. | Jeu de questions/réponses à sens unique entre deux (voire plusieurs) personnes, parfois selon le mode QQOQCCP. 6
| F. | Article
d'opinion, souvent court et, qui présente de façon sarcastique ou
humoristique un événement ou un sujet d'intérêt général susceptible
d'attirer l'attention du lecteur, d'apporter un sujet de réflexion.
L'auteur du billet prend parti. Habituellement, la chute de l'article
est particulièrement soignée, constituant en quelque sorte la morale de
l'histoire.10 | G. | Le
journaliste y utilise un vocabulaire imagé qui traduit ce qu'il a
"vécu" (vu, entendu, senti) sur place. Et fréquemment, il cite l'une ou
autre phrase prononcée par l'un des acteurs ou des témoins, des phrases
qu'on lui a parfois confiées en exclusivité ou qu'il a saisies au vol. 5
| H. | Méthode de vente qui vise la publication, dans les médias d'une information, prônant l'usage d'une marque ou d'un produit vendu par la personne ou l'organisme qui finance cette information. 11
| I. | Prise
de position éditoriale qui est cédée à une plume extérieure, à laquelle
on reconnaît une expertise ou une manière originale de saisir
l’actualité. 2
| J. | Il est constitué de diverses réactions adressées à la rédaction, suite à la publication d’articles antérieurs. 3
| K. | Document
court, envoyé aux journalistes dans le but de les informer d'un
événement comme la création d'une société ou le lancement d'un nouveau
produit. 12
| L. | Texte
dans lequel le journaliste rapporte les événements en allant sur le
terrain, en se rendant sur les lieux de l'action. Il raconte alors ce
qu'il a vu et ce qu'il a entendu sur place. Il devient en quelque sorte
un témoin "subjectif" qui observe les faits avec sa propre sensibilité. 1
| Les réponses :
A B C E F G H I J K L

Ex : Accident de la route 1. Un événement survient. Il est 8h20 du matin. Ex : accident de la route avec blessés et embouteillage 15. L’accidenté décède 16. Heure de bouclage 18. Achat du journal (J+1) | a) Le sujet peut être retravaillé et monté plus à l’aise pour le JT du soir 14
b) De retour en salle de montage, le journaliste réalise sa séquence 13
c) Le
photographe envoie ses clichés par GSM + Un archiviste cherche des
statistiques sur le nombre d’accidents déjà survenus à cet endroit 7
d) Une première évocation de l’accident trouve place au JP de milieu de matinée 8 e) Un flash radio annonce l’accident + L’info est mise sur le net 5
f) Un
journaliste est dépêché sur place avec un photographe. Ils réalisent
des interviews et prennent des clichés + Une équipe de télé arrive sur
les lieux : caméra, prise de son et journaliste. Les interviews
commencent 6
g) Le
journaliste écrit un papier pour la presse écrite : recherche d’infos
complémentaires, rédaction, mise en forme, illu et légende. (2000
signes) 11
h) Le journaliste télé écrit puis post-produit son commentaire 10
i) Impression & distribution par les MP 17
j) Le sujet paraît au JT de la mi-journée 9
k) Un témoin prend des photos avec son GSM et les diffuse sur Twitter 3
l) Second JT, seconde évocation avec des explications (1min 30) m) Les secours se mettent en route. Sur place, ils identifient rapidement la victime et la gravité de la situation 4 n) Le journaliste complète son info : Pourquoi tant d’accidents à cet endroit ? (30 sec) 12
o) Un témoin alerte les secours et informe le centre de guidage (Perex) 2

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