Pitch : Incriminer de façon simpliste Facebook dans les médias permet
d’alimenter la rumeur et fait jouer le rôle de bouc-émissaire à un site
commercial qui a ses défauts, certes, mais qui est surtout méconnu du
grand public. Cela en rend d’autant plus aisée son abomination. En
effet, l’opprobre s’installe alors de façon caricaturale… et au slogan
éculé des uns : « Comment, vous n’en êtes pas ? » s’oppose alors son
alter ego tout aussi virulent : « Comment, vous en faites partie ? ».
Un manichéïsme à l’emporte-pièce qui divise les internautes en
réactionnaires opposés à toute avancée des réseaux-sociaux et en naïfs
qui seraient tous victimes consentantes d’un fishing (1) éhonté. Se
réclamer alors d’une mouvance intermédiaire, critique et désireuse
d’une vraie approche d’éducation aux médias Facebook, n’est pas simple
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Mais commençons d’abord par le début : « Facebook, c’est quoi ? ». Et allons de suite à l’essentiel en disant qu’il sagit d’un réseau social mondial. DU réseau incontournable auquel il faut appartenir aujourd’hui, sous peine d’être « ringard de chez ringard ». S’il fut un temps où l’on vous riait au nez quand vous affirmiez que vous n’aviez pas d’adresse mail, si par la suite, on s’est tout autant étonné du fait que vous pouviez vivre sans rédiger un blog perso, il vous faut maintenant entendre répéter fréquemment cette invitation à souscrire à ce nouvel engouement… social pour éviter d’être taxé de « vieux c… (2) ». Or c’est un fait, il existe de par le monde plusieurs réseaux sociaux mondiaux. A côté de Facebook, les Badoo, Bebo, Friendster, Hi5, MySpace, Netlog Orkut … se positionnent comme des alternatives locales, certes, mais très densément peuplées elles aussi. Facebook n’est donc pas un passage obligé et absolu. Pourtant, nous le verrons, l’engouement, mais aussi la cabale qui le vise, ciblent prioritairement le réseau américain, du fait notamment de ses 400 millions d’utilisateurs actifs (3) .
Le couteau suisse du net
Mais il faut aller plus loin dans la description d’un réseau social en expliquant aussi qu’il est un véritable trou noir (4) de l’internet. Telle une vaste crépine de lavabo, le réseau social semble vouloir tout engloutir du net environnant. Rappelons qu’avant l’émergence de cette plate-forme, l’internaute développait de multiples usages du net en recourant à une série de services en ligne dispersés (publication, forum, mail, échanges de photos ou de vidéos…). Aujourd’hui, il semble de plus en plus, que l’on puisse tout faire via Facebook. Un récent article de presse (5) n’annonce-t-il pas la fin du mail en 2014… au profit des réseaux sociaux ? Oui, c’est cela qui fait peur principalement : le quasi monopole que l’on accorderait à cette entreprise (Facebook) en y faisant migrer tous nos usages réticulaires. Car reconnaissons-le, interagir là où la foule se trouve semble aujourd’hui plus prometteur –en tout cas plus simple- que de solliciter vos partenaires à vous rejoindre sur la multitude des serveurs où vos usages du net seraient dispersés. Développer vos interactions là où vos partenaires potentiels sont déjà installés, c’est ça la tendance. En ce sens, oui, le réseau social ressemble à cette vision caricaturale, mais bien établie en astrophysique, du trou noir, lequel aspirerait tout ce qui passe à sa portée. On comprend alors que cette migration mondiale fasse peur, du fait qu’elle octroierait de facto à une société, à un seul homme –Mark Zuckerberg- une position stratégique inégalée. Pour le dire autrement encore, si internet est un réseau de réseaux, la philosophie générale d’un réseau social sera de tenter de s’y substituer, arguant du fait que si tous les utilisateurs y sont rassemblés… c’est là, en son sein, qu’il faut développer désormais toutes ses interactions. Une sorte de putch qui amènerait à penser qu’Internet = Facebook, et inversément. Ni plus, ni moins. Pas étonnant alors qu’une vigilance, voire une militance, se mette en place pour identifier et prévenir les risques sociétaux de pareil mouvement de foule. Mais si cela est vrai, ce l’est tout autant pour Facebook que pour tout autre réseau social qui tendrait progressivement, et de facto, à ce monopole. Comme ce le serait tout autant pour un monopole de la localisation des informations aux mains d’un Google ou d’un Yahoo, et aussi en matière de développement logiciel d’un Microsoft ou d’un Apple. Sur le principe, on ne peut qu’être d’accord : la libre concurrence est seule garante d’une saine diversité des propositions de services. Mais pourquoi parler alors de cabale ?
Diabolisation
Ce qui caractérise les messages médiatiques développés à propos de Facebook, ce sont leur formule à l’emporte-pièce. Guère d’explications nuancées, de travail pédagogique pour initier les utilisateurs. La masse des interventions rapporte plutôt des récits croustillants de dérapages. « Il tue sa femme à cause de Facebook (6) », « Grillée sur Facebook (7) » ou encore le cas de ce « planificateur financier à qui vous ne confierez plus vos avoirs (8) » sont des exemples emblématiques . Certes, ils sortent quelque peu de l’ordinaire et tous, parmi les lecteurs, ne pourront s’y identifier. Mais quand on accuse ensuite le réseau social d’être « une menace pour sa vie privée (9) » ou d’être « dangereux pour la paix des ménages (10) et (11) », chacun peut plus facilement se sentir concerné. De même, si on peut attester que « pour les entreprises aussi, les réseaux sociaux sont une vraie plaie et ». Le slogan s’insinue alors dans les esprits : « Facebook de tous les dangers ».
Certes, bien sûr, de nombreux cas de mésusages du réseau social peuvent servir d’alertes… et le fait que Facebook soit le réseau le plus développé sur notre continent explique que c’est en utilisant massivement son patronyme que se déploient les messages de mise en garde. Mais procéderait-on de la même façon s’il s’agissait de dénoncer les risques de la conduite automobile, par exemple ? Les risques de mésusages sont bien réels là aussi, mais stigmatiserait-on autant les dangers sans parler des avantages nombreux d’apprendre à conduire et d’utiliser ce moyen de transport pour entreprendre de nombreux projets légitimes et stimulants ?
Si l’automobile n’est pas traitée de la même façon, c’est parce que la majorité des usagers de la route connaissent les principes de base de la circulation et qu’ils mesurent avec lucidité la part de risques relevant des mésusages et les avantages que procurent les déplacements autoportés. Ils feraient sans nul doute la part des choses d’un discours apologétique, surtout si celui-ci s’entêtait à stigmatiser une marque ou un modèle automobile spécifique pour tenter de diaboliser l’ensemble du secteur. Mais avec les réseaux sociaux, il semble que la méconnaissance, technologique notamment, permette d’agir autrement.
Sans mesure ?
Tout ce qui vient d’être dit l’a été sur base des comportements des adultes. Or, reconnaissons-le, les premiers utilisateurs des réseaux sociaux, ce sont les jeunes. C’est donc les mésusages des ados qui alimentent massivement les débats médiatiques à l’encontre de Facebook. Ils ne mesureraient pas l’impact de leur affichage médiatique (plus aucune vie privée), ils ne seraient pas conscients du risque encouru d’exposer leurs coordonnées personnelles (les pédophiles rodent), il faudrait leur ouvrir les yeux sur l’impact d’une vie exposée sur un futur entretien d’embauche où le CV se complète des frasques de jeunesse archivées dans la mémoire des réseaux sociaux… tout d’un coup moins sympathiques ! Et c’est vrai que, pour se limiter au seul secteur des albums photos, un réseau social est une vitrine étonnante où les tendances exhibitionnistes ont toute la place pour s’épancher. Reconnaissons le toutefois, c’était déjà le cas avec les blogs… et cela justifie d’autant plus donc, que l’on réclame une meilleure éducation à l’ensemble des médias de l’internet.
Vivons casqués !
Mais cette volonté de former aux usages réfléchis et à l’attitude critique n’est pas le choix le plus facile à concrétiser, ni le plus porteur dans les mass médias qui réclament souvent un traitement court et simplificateur de l’info. D’aucun se font donc les chantres d’une attitude plus radicale : la dissuasion totale par voie d’abomination.
La philosophie qu’ils promeuvent est celle du risque zéro. Une attitude, disons-le, qui ne prépare en rien à la confrontation aux dangers réels de la vie au quotidien quand on se sert de l’internet et des réseaux sociaux (15) . Car, reconnaissons-le, il faudra un jour ou l’autre s’y confronter, les technologies de la communication étant un des piliers de notre vie en société.
Mais, seconde raison de se sentir dérangé : quand on s’informe auprès des utilisateurs des réseaux, sur leurs attitudes profondes (16) , ceux-ci disent faire preuve d’une beaucoup plus grande responsabilité que l’on veut bien le leur reconnaître ! Et concernant les ados, voici ce que dit Emily Nussbaum (17) (traduite par Jean-Marc Manach sur Internetactu .net) : « Depuis qu’ils communiquent, ils sont habitués à être confrontés à ce que Danah Boyd qualifie d’”audiences invisibles“, à savoir tous ceux qui, sans être pour autant leurs “amis” à qui sont destinés, a priori, ce qu’ils mettent en ligne, n’en peuvent pas moins en devenir les lecteurs, critiques ou laudateurs… et donc aussi les “juger“, plutôt que seulement les lire ou les regarder.
Ils ont ainsi appris à moduler leur ton pour s’adresser à ces différents types d’auditeurs, sachant également qu’un message instantané ou un email peuvent être copiés/collés et qu’un “chat” peut être archivé : “cette façon de communiquer oblige les gens à être constamment conscient du fait que tout ce qu’ils publient pourra, et sera, retenu contre eux“.
En ce sens, les adolescents sont confrontés aux mêmes types de problèmes et précautions que les hommes politiques et les “people” : ils sont, eux aussi, devenus -au sens littéral- des personnalités publiques. A ce titre, ils ont aussi adopté les mêmes réflexes que les célébrités, et savent donc qu’il vaut mieux tenter de profiter de l’attention de ceux qui s’intéressent à vous, mais aussi devancer l’appel en contrôlant votre communication plutôt que de voir quelqu’un d’autre le faire à votre place, et donc risquer d’en faire les frais.
A l’instar des personnalités publiques, les ados doivent également apprendre à être jugés, mal compris, caricaturés, critiqués… ». Et c’est sans aucun doute en cela qu’ils doivent être accompagnés. Le problème, c’est de le faire comprendre aux éducateurs, des adultes par trop convaincus que pour vivre heureux, il faut vivre caché. Reprenons une fois encore les propos d’Emily Nussbaum sur cette question. Elle dit : « “Il serait peut-être donc temps d’envisager la possibilité que ces jeunes, qui agissent comme si la vie privée n’existait pas, sont de fait des personnes saines, et que les plus aliénés ne sont pas ceux qu’on croit.
Pour quelqu’un comme moi, qui a grandi en fermant à clef mon journal intime, ça risque d’être difficile à accepter. Mais dans les circonstances actuelles, une attitude de déni consistant à garder les choses pour soi n’est peut-être pas très noble.
Il semble en effet que ceux qui ont grandi “en se montrant” ont aussi découvert que les bénéfices de la transparence valaient la peine d’être tentés. […] Un nombre considérable de jeunes gens partagent aujourd’hui publiquement plus de données personnelles qu’aucune personne plus âgée ne l’a jamais fait, et ils semblent pourtant mystérieusement en bonne santé et normaux, et dotés d’une définition totalement différente de la vie privée.”
Je suis, donc je me confie
Force devrait être de constater que de nombreuses critiques émises à l’encontre de Facebook relèvent d’abord des comportements des usagers eux-mêmes plus que de l’outil qui leur est proposé. Guy G. sur Scribd.com s’exprime en ce sens dans la troisième partie de sa réflexion intitulée : « Facebook – Danger ». Selon lui, « le principal risque à identifier, c’est la trop grande confiance avec laquelle l’utilisateur se fie et se confie au système. Beaucoup trop de renseignements personnels sont mis en ligne pour un bénéfice retour qui ne le justifie pas et en acceptant dès lors que ces données circulent ensuite sans plus aucun contrôle ». Certes, il y a lieu de mettre en place une vigilance qui talonne la « Politique de confidentialité » de Facebook fort intrusive et sans cesse modifiée « à l’insu du plein gré » des utilisateurs qui sont responsables de se tenir informés des modifications constamment apportées aux conditions d’utilisation du site. Mais il est primordial d’éduquer l’utilisateur à la modération dans ses propos et à la réflexion critique dans ses usages.
Cette situation n’est pas sans rappeler à ceux qui le connaissent, ce scénario de piratage appelé « virus à la belge »… et qui était un message consistant à faire jeter à la corbeille un dossier important du logiciel système, sous prétexte qu’il aurait été un cheval de Troie. Une fois l’opération faite, l’ordi était bien planté… mais la cause n’en était pas au fichier envoyé, mais à l’attitude servile de celui qui avait suivi les consignes ! La leçon de cette anecdote vaut aussi pour les réseaux sociaux : « C’est de soi qu’il faut se méfier en priorité, de sa naïveté et de son manque de réflexion. »
Et si ce n’est pas de soi, ce peut aussi être des autres qu’il faut se méfier. En effet, elles sont aussi nombreuses les arnaques qui passent par les réseaux sociaux. Et diverses en tout genre : Fausse vente de tickets de concert en ligne (18) , offres alléchantes de produits « minceur » à tester (19) , campagne de promotions commerciales sans pareil (20), piège jouant sur la nécessité de convenir d’un nouveau mot de passe (21) , attaque virale et publicitaire (22) , etc. Tous les trucs du net se retrouvent aussi dans les réseaux sociaux, et notamment dans Facebook, pour vous soutirer des renseignements confidentiels et stratégiques.
Des cyber-nouilles ?
Faut-il pour autant incriminer le réseau social ? Ou à l’inverse, celui-ci serait-il sans faille, ni intentions frauduleuses ? Sans doute ni l’un, ni l’autre. En lisant la « Politique de confidentialité » de Facebook, on constatera que cette société commerciale (23) a une stratégie commerciale particulièrement intrusive. Au consommateur de s’en défendre donc et aussi de dénoncer des choix technologiques qui ne sont pas toujours pour faciliter les apprentissages menant à l’appropriation de l’interface (24) . Mais force est de constater que plusieurs experts sont aujourd’hui d’accord pour dire que quoiqu’il en soit de cette politique, Facebook n’est pas si dangereux que cela. Ainsi Eric Delcroix(25) qui a entrepris une enquête pour identifier des désagréments subis pour trop grande extimité affichée dans les réseaux sociaux et qui conclut pour l’heure : « Si j’en crois l’enquête que je continue de mener à l’aide de Spokeo… les utilisateurs du Web 2.0 sont sages ! Plus adulte qu’on ne pourrait le penser et les dérapages semblent très rares. Alors, vous comprendrez que si des mésaventures vous sont arrivées… je suis preneur :-) Mais du vrai, du concret… Pas de : «On m’a dit que…».
Même point de vue chez Vincent Gautrais (26) dans un article au titre volontairement provocateur : « La sécurité est de plus en plus une perception - plus qu’un état - que l’on tente d’encadrer totalement alors que de tout temps il n’en a jamais été. De plus, l’on parle de risques potentiels car au meilleure de ma connaissance, rien n’a encore été prouvé. Il y a donc une bonne dose de fantasme ; des fantasmes où la « peur du loup » est une technique de communication souvent utilisée. » Mais si l’auteur est provocateur, c’est tout de même pour conclure que si des risques existent, il ne faut pas empêcher les jeunes d’utiliser ces technologies, au risque d’en faire des cyber-nouilles, et que dans une société où le risque zéro n’existe pas, une éducation aux médias adaptée à la plate-forme utilisée devrait permettre aux utilisateurs, jeunes et moins jeunes, de paramétrer efficacement leur niveaux de confidentialité. Pour le reste, c’est une éducation humaniste et citoyenne qui doit leur apprendre le sens commun, l’esprit critique, le sens de la retenue et le respect d’autrui… toutes valeurs qui entrent en action quand il s’agit de poser des actes publics… , de s’en préserver, ou de réserver ceux-ci à un cercle restreint de relations. Et ce, en choisissant de le faire ou non via les réseaux sociaux. En étant performant dans la manière de le faire .
Un pied dans la porte
Des outils pour éveiller à ce savoir-faire doivent être mis en place. Ils doivent relever d’une stratégie globale d’éducation aux médias concertée avec tous les acteurs de terrain, au sein des établissements scolaire mais aussi dans les milieux familiaux et de la tierce éducation. Plus que d’être répressifs, ils devront faire preuve d’inventivité et de mobilisation. Ils devront oser aborder les aspects techniques liés à l’emploi de cette nouvelle technologie, car on ne peut admettre plus longtemps que des bobards circulent et alimentent la rumeur quand ils s’appuient sur des incohérences technologiques faciles à dénoncer (28) et (29) . Parmi les supports rencontrés sur le net, nous pointerons une séquence vidéo qui traite sans désapprobation aucune, mais par voie de parodie, le phénomène des réseaux sociaux. On y voit tout l’embarras d’un jeune sollicité à la porte de sa maison comme il le serait à l’écran de son ordi. Cette séquence peut constituer un point d’accroche pour démarrer une réflexion. Elle peut aussi éveiller à la créativité lors du travail de scénarisation qu’un groupe de jeunes ferait pour expliquer à d’autres, moins expérimentés, les risques qu’ils pressentent dans l’usage irréfléchi des réseaux sociaux. Deux pistes classiques d’éducation aux médias : la première qui déconstruit des messages médiatiques existants et la seconde qui en produit en réfléchissant à la fois sur le message (représentations), son emballage (technologies et langages) et son impact sur le destinataire choisi (publics).
Une éducation aux médias qui devrait amener chaque jeune qui publie sur le net, dans les réseaux sociaux, sur son blog ou ailleurs, à signer ses propos comme le fait Mélodie (30) , paraphrasant Gérard Lanvin quand elle écrit : « Je n'ai pas honte de dire ce que je dis puisque je n'ai pas honte de penser ce que je pense ».
1. Littéralement : hameçonnage. En fait, une pêche grandeur nature qui, d’un coup de filet, empoche un ban de poissons entier qui n’a rien vu venir.
2. Lire sur Internetactu.net les échanges de propos entre vieux et jeunes cons, à propos du concept de vie privée : http://www.internetactu.net/2009/03/12/la-vie-privee-un-probleme-de-vieux-cons/
3. Source : http://www.facebook.com/press/info.php?statistics
4. En astrophysique, un trou noir est un objet massif dont le champ gravitationnel est si intense qu’il empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper. La représentation populaire associe souvent ce concept à celui d’un siphon d’évier.
5. Metro, mardi 6 juillet 2010, page 13 : « Les réseaux sociaux vont remplacer l’E-mail ».
6. Quand la jalousie instrumentée dans le réseau social devient un pousse au crime : http://www.20minutes.fr/article/264630/High-Tech-Un-Anglais-tue-sa-femme-a-cause-d-un-statut-Facebook.php
7. Un entretien d’embauche où les mésusages du réseau social l’emportent sur les diplômes et compétences professionnelles : http://www.youtube.com/watch?v=nwLhzhEhjfQ&feature=email
8. Quand un conseiller financier paraît moins crédible du fait de ses orientations sexuelles : http://blogue.mesfinances.branchez-vous.com/2008/01/check_moi_lpatrimoine.html
9. « Après x mois de procédures, il récupère toute sa vie dans un seul document, dont 167 pages de messages détenus par la société Facebook… une puissance gigantesque », estime un utilisateur repenti de FB qui regrette aujourd’hui de s’être tant confié par réseau interposé.
http://www.econologie.com/facebook-dangereux-pour-la-vie-privee-telechargement-4013.html
10. Un cinquième des divorces prononcés en Angleterre trouverait des arguments de plaidoirie dans les usages des réseaux sociaux : http://www.zdnet.fr/actualites/angleterre-facebook-dangereux-pour-la-paix-des-menages-39711811.htm
11. Quand la méfiance s’installe dans les couples, les réseaux sociaux constituent alors de nouveaux outils de suspicion: http://plumescoquines.over-blog.com/article-facebook-dangeruex-pour-les-couples--42977342.html
12. En entreprise, les risques des réseaux sociaux s’appellent temps perdu, certes, mais aussi espionnage industriel et piratage informatique : http://www.20minutes.fr/article/380884/High-Tech-Facebook-dangereux-pour-les-entreprises.php
13. http://www.lemondedublog.com/2007/11/uk-facebook-et-myspace-186-millions-de-perte-par-jour-pour-les-entreprises.php
14. « Premiers » numériquement, bien sûr, mais aussi chronologiquement… car ils cèdent maintenant du terrain… Les adultes entrant en masse dans cet univers virtuel. Les ados ne sont-ils pas déjà d’ailleurs occupés à envisager leur migration hors de ces « outils pour vieux » ? Lire à ce sujet : http://www.lepost.fr/article/2009/02/17/1427142_facebook-c-est-pour-les-vieux.html
15. http://www.rambit.qc.ca/blog/est-ce-que-facebook-est-dangereux/`
16. Sociogeek : ils sont plus modérés qu’on ne le croit : http://www.internetactu.net/2008/12/02/sociogeek-notre-exposition-en-ligne-est-strategique
17. Emily Nussbaum est journaliste au NY Magazine. Lire : http://nymag.com/news/features/27341/
18. A propos de Daft punk : http://www.eteignezvotreordinateur.com/daft-punk-enorme-arnaque-sur-facebook-3800-victimes/
19. Produits de la marque Acaï : http://chez-rosalie.over-blog.com/article-34715339.html
20. http://lci.tf1.fr/high-tech/2010-04/sur-facebook-l-arnaque-ikea-fait-40-000-victimes-5806581.html
21. http://blog.pandasecurity.fr/2010/05/arnaque-facebook.html
22. http://www.infos-du-net.com/actualite/17052-facebook-ver-arnaque.html
23. Rappel : Facebook n’est pas un service public : http://medias.tva.ca/emissions/je/reportages/21528.wmv
24. http://techno.branchez-vous.com/actualite/2007/11/myspace_et_facebook_un_risque.html
25. http://leszed.ed-productions.com/facebook-pas-si-dangereux-qu-on-le-dit/
26. http://www.gautrais.com/Facebook-n-est-pas-dangereux
27. A lire, en ce sens, le texte d’une interview où Vincent Gautrais, toujours lui, précise les conseils qu’ils donneraient aux jeunes désireux d’utiliser les réseaux sociaux. : http://www.gautrais.com/securite-sur-facebook
28. A propos d’une soi-disant élection d’un président Facebook :
http://ecosphere.wordpress.com/2008/01/02/facebook-president-foutaise-media/
29. et encore sur le même sujet : http://fr.mashable.com/2008/01/02/arash-derambarsh-un-francais-nouveau-president-de-facebook-sans-blague/
30. http://bateau-ivre.cultureforum.net/de-tout-et-de-rien-f5/facebook-dangereux-ou-pas-t7728.htm